Je sais pas chez vous, mais chez moi, ces derniers jours, la météo est schizophrène. Un jour, c’est grand soleil, café/terrasse, photosynthèse à tout va, envie de tomates-mozza et de basilic, de ressortir la petite veste et le foulard qui va tellement bien avec…
Et le lendemain, tiens, prends cette avalanche de flotte dans la face, mets tes bottes en caoutchouc et utilise le stock de motivation accumulé le jour d’avant pour trouver l’énergie de sortir de chez toi.
Schizo, je vous dis.
Aujourd’hui, donc, adieu tomates-mozza, bonjour plat chaud en tout genre, mon corps malmené a besoin de nourriture sympathique (nourriture spirituelle matérielle, ça va de soi.)
Du coup, j’ai décidé de ressortir cette vieille recette