Depuis quelques temps, j’ai remarqué que mon niveau de bien-être était proportionnel à mon envie de faire manger. On s’entend, ça m’éclate la plupart du temps de bidouiller un plat de pâtes avec des restes de frigo ou de penser à ce qu’on pourrait bien souper ce soir. Mais innover, passer un aprem aux fourneaux, inviter du monde pour partager tout ça… quand on en est là, c’est vraiment que ça va bien.
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Rice and beans – haricots noirs porto-ricains et riz
Coucou les loulous!
Aujourd’hui, un petit post spécial « éloge du haricot ». Le haricot, le pauvre, souffre beaucoup trop de cette image de plat du pauvre vaguement dégueu que la majorité de la population a de lui (#lecassouletc’estgras, #lesharicotsçafaitpéter). Que nenni. Le haricot c’est votre ami, il suffit juste de savoir y faire un peu. -
Salade de pois chiches, tomates et poivrons rôtis
Qui dit fin d’année scolaire dit apéros, grillades et autres moments de « travail » entre collègues (on a quand même travaillé. Un peu.) Dans notre équipe, on se répartit les plats (apéro, salade, dessert) et chacun prépare un petit quelque chose, sauf celui qui amène les croissants, en général un flemmard ;-). Si on avait pas un nom pseudo-professionnel pour ces journées, je les appellerais » Mes collègues ont du talent« .
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Pâtes à la poêle: merguez, tomates et poivrons
Miam Miam Miam les pâtes. Je me suis souvent demandé si mon amour (non, pas d’exagération) pour elles venait d’une ascendance génétique, de la cuisine de ma Nonna (riche, mais efficace) ou du moment ou j’ai compris qu’elles nécessitaient si peu de temps et d’ingrédients pour être délicieuses. Peu importe, c’est le résultat qui compte. Si je m’écoutais, j’en mangerais 5 fois par semaine.