Un soir, J. et moi avions envie de BOUDIN.
Franchement, le type qui a un jour choisi de nommer une denrée alimentaire boudin occupe une position paradoxale dans mon jugement. Soit c’est un grand malade, parce qu’il faut vraiment y aller pour donner un nom aussi peu ragoûtant à un plat qui, faut l’avouer, ne fait déjà pas forcément très envie quand on sait ce qu’il y a dedans; soit c’est un génie,