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Mousse à la banane
J’ai lu récemment sur un post d’une bloggeuse qui me fait toujours beaucoup rire la citation suivante:
« Ma mère était hipster avant la vôtre » (fin de citation). Haha. C’est tellement vrai! En fait on devrait dire « Ma mère était hipster avant les hipsters » (ce qui fait d’elle une hipster au deuxième degré, le swag du swag).
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Tartelettes aux poires, meringue aux marrons
Exemple parfait de meringue fâcheusement cramée par un fâcheux séjour dans le four…attention à éviter le fâcheux! (des photos non cramées suivront…)
L’autre jour, en me baladant dans un magasin de fringues dont je ne me rappelle plus lequel c’est, j’ai été prise d’un sentiment bizarre…comme une envie de chaleur, une nostalgie du soleil… je sais pas comment ils font, dans les magasins de fringues, ils savent te donner envie de porter des sandales en février (mais siiii elles sont merveilleuses et elles seront plus là au mois de mai). Ils savent choisir pile poil les bonnes couleurs
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Légumes bizarres #3: Salade César à la chicorée trévise et au kale…
…avec vinaigrette au miel et croûtons à l’ail. Trop long ce titre!
Quand, la semaine passée, L. est passée manger pour qu’on puisse discuter un peu de l’avancement du projet « Apéros de la Délicieuserie » (vachement bien entamé, le projet, à retrouver ici!), mon frère l’a accompagnée et il fallait donc prévoir un truc à grignoter; petite contrainte, ça ne devait pas être des pâtes sinon mon organisme et celui de J. auraient explosé d’une surdose de glucides. Donc j’ai réfléchi au contenu du Panier de légumes qui était le suivant:
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Osso buco aux olives et tomates confites – même que c’est super facile!
Aidez moi. Quelqu’un, style un prêtre, je pense qu’un exorcisme s’impose. Rome, sort de ce corps! Depuis une semaine, tout ce que j’ai dans la tête se résume à des pâtes (plus que d’habitude…Doux jésus!), des terrasses (sur lesquelles boire des Spritz), de la sauce tomate, de la chaleur dans des vieilles pierres, des pâtes, de la sauce tomate….
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Potpie from the US
Je sais pas chez vous, mais chez moi, ces derniers jours, la météo est schizophrène. Un jour, c’est grand soleil, café/terrasse, photosynthèse à tout va, envie de tomates-mozza et de basilic, de ressortir la petite veste et le foulard qui va tellement bien avec…
Et le lendemain, tiens, prends cette avalanche de flotte dans la face, mets tes bottes en caoutchouc et utilise le stock de motivation accumulé le jour d’avant pour trouver l’énergie de sortir de chez toi.
Schizo, je vous dis.
Aujourd’hui, donc, adieu tomates-mozza, bonjour plat chaud en tout genre, mon corps malmené a besoin de nourriture sympathique (nourriturespirituellematérielle, ça va de soi.)
Du coup, j’ai décidé de ressortir cette vieille recette
